Interstellar, Seul sur Mars, Godzilla… Qu’elle parle de trous noirs, de mondes inaccessibles ou de créatures extraterrestres, la science-fiction s’empare des lois de la physique et les pousse, les déforme pour en faire une histoire à l’intrigue accrocheuse.
Pour notre invité Roland Lehoucq, la science-fiction est un prétexte pour parler de science. Dans son livre La science fait son cinéma des éditions Le Bélial, co-écrit avec le paléontologue Jean-Sébastien Steyer, une quinzaine de films sont décortiqués sous l’angle de la biologie, la physique, la linguistique et autres disciplines. Plus qu’une critique des films de science-fiction, ce qui importe, c’est de faire une enquête sur le monde qui est montré et de faire de la science de manière ludique.